Un nouveau resto AVV à Montréal
Je vous reviens avec mes commentaires.
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Montrachet
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Commentaire du Guide Restos Voir
Apollo Restaurant
Dernière excellente nouvelle, avant la date de tombée de notre édition 2007 du Guide Restos Voir, que l’ouverture de cet Apollo Restaurant. Giovanni Apollo cuisine sans retenue, avec passion et un indéniable talent. À sa table, les clients sont souvent surpris, parfois déstabilisés et toujours heureux. Sa cuisine, terroir tendance 22e siècle, est à l’image du replet concepteur, créative à la limite de l’extravagance, généreuse à la limite de la surabondance. Des formules où l’on décline de très élégants trimoteurs et quadrimoteurs sur les thèmes du poisson, de l’agneau, de la pâte ou du canard. La salle est un modèle de sérénité et, derrière le mur vitré, on peut voir trimer les cuistots, ce qui augmente encore le plaisir d’être ici, puisque, en plus de leur art, ils semblent y mettre beaucoup de cœur.
Où : Petite Italie
Apollo Restaurant
6389, boulevard Saint-Laurent
Montréal
(514) 274-0153
Origine: France
Évaluation de Voir
Cuisine: ****
Service: ****
Décor: ****
Prix pour 2 personnes
Soir: 100 $
Midi: 70 $
«Apollo» Un nouveau resto AVV à Montréal (Petite Italie)
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Montrachet
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Montrachet
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Selon le guide Restos VOIR, ce restaurant est seulement le cinquième resto AVV de Montréal à obtenir 4 étoiles, il vient rejoindre «la Colombe», Le P'tit Plateau, Christophe et Les Infidèles.
Mes commentaires.
Un AVV dans un décor moderne et aéré, la vue sur la magnifique cuisine fait partie du spectacle et crée une ambiance très dynamique.
Un restaurant ou l’expression «Mettre les petits plats dans les grands» prend le sens figuré et le sens propre…vous saisirez une fois sur place!
Difficile à croire que nous somme dans un AVV. Une clientèle «branchée» mais peu habitué d’apporté leur vin, pourtant l’absence d’un «valet service» aurait du leur mettes la puce à l’oreille
.
Le frais de bouchon est de 8$
, surement l’un des plus élevé à Montréal, espérons que les autres AVV ne l’imiterons pas.
Les plats sont apprêté de façon très orignal, mais leur températures de service laissait a désiré, du moins le soir de ma visite.
Les serveurs sont expérimenté, mais un peu trop familier à mon gout.
Une fois la machine bien rodé, ce resto devrait faire fureur.
Édit :---------------
Pour ce qui est du vin, croyant avoir à faire à un resto Italien, j’ai apporté deux grands vins blancs Italien :
863829
Rossj-Bass Gaja langhe Italie 2002 :Thumbsup: (la SAQ vend présentement le millésime 2004)
52,00 $
862797
Batàr Querciabella toscana i.g.t. 2000
76,00 $
Ces deux vin blanc était idéal pour accompagnées les risottos et quelque un des poissons, mais en général un vin rouge aurait été plus approprié, du moins pour mes invités :whistling: .
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Montrachet
Mes commentaires.
Un AVV dans un décor moderne et aéré, la vue sur la magnifique cuisine fait partie du spectacle et crée une ambiance très dynamique.
Un restaurant ou l’expression «Mettre les petits plats dans les grands» prend le sens figuré et le sens propre…vous saisirez une fois sur place!
Difficile à croire que nous somme dans un AVV. Une clientèle «branchée» mais peu habitué d’apporté leur vin, pourtant l’absence d’un «valet service» aurait du leur mettes la puce à l’oreille
.Le frais de bouchon est de 8$
, surement l’un des plus élevé à Montréal, espérons que les autres AVV ne l’imiterons pas.Les plats sont apprêté de façon très orignal, mais leur températures de service laissait a désiré, du moins le soir de ma visite.
Les serveurs sont expérimenté, mais un peu trop familier à mon gout.
Une fois la machine bien rodé, ce resto devrait faire fureur.
Édit :---------------
Pour ce qui est du vin, croyant avoir à faire à un resto Italien, j’ai apporté deux grands vins blancs Italien :
863829
Rossj-Bass Gaja langhe Italie 2002 :Thumbsup: (la SAQ vend présentement le millésime 2004)
52,00 $
862797
Batàr Querciabella toscana i.g.t. 2000
76,00 $
Ces deux vin blanc était idéal pour accompagnées les risottos et quelque un des poissons, mais en général un vin rouge aurait été plus approprié, du moins pour mes invités :whistling: .
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Montrachet
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Francisco
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J'ai eu l'expérience de travailler avec Giovanni Apollo au Mount-Stephen Club presque 2 ans. Comme j'ai dit, une expérience.Montrachet a écrit : Le frais de bouchon est de 8$
Montrachet
Frais de bouchon de 8$. Ont se dirait aux États-Unis.
Francisco
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Campofiorin
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La différence, c'est qu'aux États-Unis le frais de bouchon est imposé dans un restaurant liscencié qui permet ainsi à un client d'amener sa bouteille qui ne figure par à la carte moyennant un montant forfaitaire. Dans le cas des AVV, l'idée est d'offrir la possibilité au client qui ne veut pas payer le gros prix pour une bouteille de pouvoir boire du vin avec son repas en échange d'une note un peu plus élevée pour les plats. Si l'on impose un frais de bouchon, il faut alors, selon moi, que le montat du plat soit réduit en conséquence sinon ça devient de l'arnaque.
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Montrachet
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Sur le site de Voir, beaucoup de réaction concernant le resto Apollo, en plus des commentaires de Jean-Philippe Tastet, 6 réactions des lecteurs principalement concernant le frais de Bouchon de 8$.
Je reproduis ici les commentaires des lecteurs, des noms familiers... :whistling:
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Montrachet
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12 octobre 2006
Apollo
Apollo 11,5 ou comment s'envoyer en l'air sans être dans la lune
Jean-Philippe Tastet
Aux portes de la Petite-Italie, le plus français des chefs italiens ouvre son nouveau restaurant.
D'abord Apollo 11: c'était en 1969 (le 21 juillet très exactement, pour les maniaques du détail). Le monde émerveillé avait vu, ce jour-là, Armstrong poser le pied sur la lune; enfin, le monde ayant la télé. Et si c'était à la télé, c'était sûrement vrai.
Ensuite Apollo 11,5: c'est Giovanni Apollo, le chef rond comme une pleine lune. Tout est si en rondeurs chez lui que, lorsque je vois des clients le saluer d'une amicale tape sur l'épaule, j'ai toujours peur qu'il se mette à rouler en renversant tables, chaises et tout ce qui se trouve sur son passage.
Le 0,5, c'est pour le fait que cet Apollo-ci ne connaît pas de Mer de la Tranquillité. Il a posé son engin un peu plus loin, sur le boulevard Saint-Laurent, à droite en montant, juste avant la Petite-Italie. Ce coin de la Main n'est pas tranquille, il est moribond. Mais on sent déjà un frémissement et l'on pressent une sortie imminente de cet endormissement qui aura duré quelques années.
Le resto Apollo contribuera sans doute à ce nouvel essor. Décor chic et retenu, un peu fils de pub, banquettes moelleuses et chaises spartiates (lire: dures comme l'âme d'un banquier). Derrière le mur du fond en vitrine, les cuisiniers cuisinent. Ça a quelque chose de rassurant. Le soir de notre passage, de nombreux groupes de jeunes gastronomes s'égayaient aux belles tables du restaurant. Ils riaient beaucoup, parlaient fort, comparaient les crus apportés et commentaient avec admiration les plats. Des tablées disparates, mais ayant en commun un plaisir évident
de se trouver à une bonne adresse pour festoyer. Un vrai plaisir également à observer.
La formule de ce nouvel Apollo est originale; ni carte, ni menu. Au mur, des propositions selon les saisons, les arrivages et l'humeur du chef. On part avec des choses comme: "Les pâtes", "Le canard", "Le veau", "Le boeuf" et l'on se retrouve avec de grandes assiettes carrées en bois sur lesquelles reposent quatre petits plats formant un casse-tête ensoleillé. Trois déclinaisons sur le thème choisi, plus une portion de légumes, version "apollonesque" du truc alimentaire de Santé Canada. En plus érotique, évidemment.
Nous avions choisi "Champignon" et "Saumon"; "Fromage" - ne serait-ce que pour regretter davantage d'avoir oublié à la maison sur la table de l'entrée ces deux petites bouteilles d'Irancy qui auraient si bien éclairé la soirée -, "Épices" et "Sorbets", pour finir dans la soie.
En amuse-bouche, arrivent deux jolis petits pilons de pintade croustillants, salsa pimentée. Parfaits pour débuter, intrigants, amusants. Comme l'air du garçon annonçant "cuisses de poulet", sans doute décontenancé par toutes les belles jeunes filles babillant à la table voisine.
Première déclinaison sur le champignon: Ragoût de trompettes de la mort (craterellus cornucopioide, pour les mêmes puristes que ci-haut) et morilles, feuille de jambon Serrano. Le plat est parfait, même si l'on peut trouver discutable et inutilement vindicatif le choix d'un jambon espagnol quand on ouvre un établissement si près du quartier italien. Sans doute le côté Zizou du chef. Impeccable tartelette au cèpe, émulsion à la truffe blanche et Armillaire couleur miel sauté, fondant de bleu bénédictin, ce dernier trop fort comme toujours pour partager harmonieusement l'assiette avec quoi que ce soit.
On enchaîne sur le saumon. Une triplette si belle qu'elle pousse à se réconcilier avec ce poisson un peu ressassé: moelleux tartare de saumon à l'huile de tangerine; incroyable tendreté du pavé de saumon à l'unilatéral, quenelle d'avocat au yuzu et radis croquants; et touches d'Orient dans le cube de saumon au parfum de sésame.
Ici encore dans les trois petites assiettes, une belle maîtrise technique, une judicieuse utilisation des éléments dont on tire le meilleur selon leurs caractéristiques spécifiques et une délicatesse extrême dans la présentation des mariages parfois très alambiqués. En d'autres termes, si vous voulez vous prendre la tête avec la cuisine de monsieur Apollo, vous pouvez; mais si vous voulez vous détendre et savourer paisiblement, vous pouvez aussi.
Quartet de fromages assez insignifiant. La maison est jeune, les fromages l'étaient malheureusement tout autant. Et si c'est une qualité dans un cas, dans le second, c'est un défaut. Appelez un fromager-affineur au plus vite, de grâce.
En dessert, première déclinaison sur les épices: Couscous au ras-el-hanout et à l'ananas, quelques copeaux de coco, puis Petit pain d'épice rôti, confiture de lait, deux desserts amusants, certes, mais sans plus; alors que les deux autres membres de la famille: Nage de petits fruits, sirop léger à la cardamome et Glace au fromage et à l'anis étoilé constituent une halte obligatoire dans la soirée. Et seconde déclinaison sur les sorbets avec notamment une interprétation assez allumée de sorbet aux agrumes, à base de pomelo, ou aux dattes, tout aussi dynamisante.
Apollo
6389, boulevard Saint-Laurent
514 274-0153
Ouvert en soirée du mardi au samedi. Préparez un beau billet rouge du Dominion par personne, avant boissons, taxes et pourboire. Si vous tombez dans l'excès, ce qui est tout à fait plausible compte tenu du côté lutin de la carte, préparez un autre billet rouge pour éponger le tout. Et en parlant d'éponger, la maison chargeant un petit droit de bouchon de 8 $, comme cela se pratique dans les meilleures chaumières, apportez donc une de ces belles bouteilles que vous cachez au fond de la cave en prévision de l'apparition d'une belle table. Celle-ci en est une assurément.
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Frais de bouchon ? non merci.
Quand je prends la décision d'aller manger un magret de canard dans un resto AVV (apporter votre vin), je suis parfaitement conscient que mon assiette me coutera peut-être un dix dollars de plus que si j'aurais choisi un resto conventionnel. Et ça, je l'accepte sans chigner car j'ai l'opportunité de boire la bouteille apportée de mon choix sans supplément.
Il ne faut pas se leurrer, les prix sont généralement "jacké" dans les Christophe, Infidèles, Yoyo, A l'Os, etc... de ce monde.
Vous douter ? Allez comparer par exemple combien coute un confit de canard au Petit Extra sur Ontario versus un des restos cités ?
Autre exemple, demain soir avec un groupe d'amis je vais dans un AVV où je sais d'avance le prix que va me couter mon cassoulet est un gros 10$ de plus que si j'avais été à La Rapière. Je vis très bien avec ça et j'y vais pareil. C'est mon choix.
J'étais heureux à la lecture de la chronique de cette semaine de découvrir l'arrivée d'un resto AVV italien "haut de gamme", ce qui manquait vraiment à Montréal. Mais quand j'ai appris l'histoire du droit de bouchon à 8$, non merci.
J'accepte que le restaurateur me charge un plus haut prix pour ce que je mange, mais si en plus de l'extra que j'ai à débourser, il y a une charge supplémentaire pour la bouteille apportée, et bien par principe je peux vous assurer que jamais je n'y mettrai les pieds (à moins qu'il ne change sa politique)
C'est pas que je suis près de mes cennes (j'aurais probablement tiré de ma cave un vieux Sassicaia ou Ornellaia si j'avais décidé d'essayer ce resto), mais je suis vraiment contre le principe.
Et bien que ce n'est pas dans ma nature je souhaite presque qu'il se plante, car imaginez que si son resto reste quand même bondé, ça pourrait donner des idées aux autres AVV d'appliquer éventuellement la même politique.
Alain Smith
13 octobre 2006
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chère la chair
Je suis d'accord sur une chose avec vous mon cher Tastet , c'est de savoir qu'un bon restaurant peut raviver un bout de rue qui était moribond en attirant une clientèle qui attirera d'autres commerçants . Un peu beaucoup de ce qui est arrivé avec le Théatre Corona à St-Henri .
J'aime bien lire vos descriptions alléchantes qui font saliver , mais j'ai toujours une peu de misère avec une addition qui frole ou égale le budget hebdomadaire d'épicerie de bien des familles . Je trouve aussi tellement exagéré de payer pour l'utilisation d'un tire-bouchon et de deux verres .
Le menu qui change au gré des humeurs du chef ou des arrivages est peut-être aussi quelque chose de risqué , car il y a des clients plutôt conservateurs qui fréquentent un établissement pour tel ou tel plat et qui n'ont pas envie de faire des découvertes culinaires .
Ce restaurant pourrait être qualifié de lieu où l'on se rend pas souvent et juste pour les grandes ou très grandes occasions , car voyez vous , la chair est chère .
Richard Marenger
13 octobre 2006
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Un envol
C'est toujours agréable de voir un restaurant prendre son envol, un chef, connu, du moins un peu, s'élancer vers de nouveaux sommets. Et un critique, qui a repéré l'endroit, nous le faire découvrir.
Et bien! J'ai été intrigué autant pas l'endroit que par la formule. Oui, j'irai et bientôt car cela fait partie de l'apprentissage d'une ville et de la cuisine qu'elle sert. Il faut sortir des sentiers battus et ce restaurant me semble répondre à cela.
Il faut faire preuve de beaucoup d'audace et d'imagination pour qu'un chef se lance ainsi tous les soirs dans ces combinaisons. Il faut aussi beaucoup d'audace et d'imagination à nous dîneurs de vouloir entrer dans le jeu. Et certains, trop consommateurs et pas assez dîneurs, n'osent pas le faire.
Oui, je paierai le 8$ de frais de débouchonnage car ainsi je saurai qu'il ne me faudra pas apporter la bouteille du dépanneur.
Bravo pour l'initiative. J'essaierai maintenant le résultat.
Pierre Blain
13 octobre 2006
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Très cher, mais ça vaut la peine une fois
Je vous l'accorde que le prix n'est pas donné, mais je pense que ce restaurant vaut le détour au moins une fois dans sa vie. J'y suis allée la semaine dernière et j'ai été plus qu'épatée par les choses qui m'ont été proposées. C'est super intéressant et surtout différent d'avoir un plan qui se décline en trois choix parce que ce n'est pas quelque chose qui se fait ailleurs. Si vous aimez les champignons, laissez-vous tenter par ce trio, vous n'allez pas le regretter et votre palais en redemandera!! L'ambiance y est très bien et le personnel accueillant et très serviable. Ils veulent nous accomoder et c'est très bien de leur part. Alors ne vous laisser pas rabattre par le prix et allez-y juste pour goûter les mets délicieux qui y sont servis.
Lyne Gauthier
13 octobre 2006
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Rien de bien différent
En fait, j'ai apprécié ce resto. Un peu cher pour ce qu'on offre, mais la nourriture est bonne. Mais rien ne distingue ce resto des 100 autres de sa catégorie à montréal. On ne devrait pas le bouder car c'est un bon "compromis" mais si vous voulez épater la galerie, n'y aller pas.
Le fait que le menu est "suprise" me fait pensé au resto du coin qui change son menu du mide à tous les jours. C'est le fun pour diner, mais pour un bon souper, c'est plaisant de savoir que notre plat préféré va être sur le menu.
Une note de 4 sur 10
Carmen Durand
13 octobre 2006
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très cher pour si peu
C'est certain que ce resto a une bonne réputation avant même ce papier dans le voir. Pour y avoir été le mois dernier, je peux dire que c'est très cher pour ce que c'est. Je ne comprends pas non plus pourquoi chargé 8$ pour boire mon vin. Avoir su, je l'aurais bu chez moi relax avec une bouteille qui vaut 8$ de plus. Je trouve ça ridicule de dire apporter votre vin quand il nous charge. Je ne comprends pas cette mode qui est de plus en plus présente. C'est comme avec l'eau, plus moyen de boire de l'eau gratuitement quand on se paye un bon resto, je ne comprends pas!
Pour ce qui est de la bouffe, j'aime bien avoir une idée du menu avant d'arriver. Moi je m'étais fait décrire les plats avant d'y aller, au moins la moitié des plats que j'avais entendu parler n'étaient pas disponibles, je trouve ça plate un peu. C'est quand même cher 160$ pour deux et être obligé d'apporter son vin. je connais des très bons restos où l'on s'en tire à 130$ vin et verres à vin inclus!!
Pour ceux qui ont de l'argent seulement, sinon continuer sur St-Laurent, vous allez trouver de très bons restos!
Martin Rochon
12 octobre 2006
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Apollo, a pas l'oseille des surprises
C'est bien connu les restaurants affichant "Apportez votre vin" se reprennent au détour, le prix des plats est conflé même sans alcool, le nouveau resto planétaire atterri sur le Boulevard Saint-Laurent Apollo, a pas longtemps hésité pour exiger un cover charge de 8.00$ pour fournir deux verres pour la consommation de notre bouteille de vin sortie de notre cave ou tout juste achetée avant la fermeture de la succursale de la Société des Alcools, ma réaction est puisqu'il est gros le chef, il doit être gourmand, alors à quel prix peut-on manger à sa faim, avec un menu changeant écrit sur ardoise murale, j'aime les surprises, surtout pour mon anniversaire et à Noël, mais à part çà j'aime bien savoir où je m'en vais, même si les no where sont romantiques, me faire une idée du total de l'addition à payer, m'incite à téléphoner pour avoir des détails précis, j'ai les pieds sur terre même à table.
Robert Boulay
12 octobre 2006
Je reproduis ici les commentaires des lecteurs, des noms familiers... :whistling:
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Montrachet
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12 octobre 2006
Apollo
Apollo 11,5 ou comment s'envoyer en l'air sans être dans la lune
Jean-Philippe Tastet
Aux portes de la Petite-Italie, le plus français des chefs italiens ouvre son nouveau restaurant.
D'abord Apollo 11: c'était en 1969 (le 21 juillet très exactement, pour les maniaques du détail). Le monde émerveillé avait vu, ce jour-là, Armstrong poser le pied sur la lune; enfin, le monde ayant la télé. Et si c'était à la télé, c'était sûrement vrai.
Ensuite Apollo 11,5: c'est Giovanni Apollo, le chef rond comme une pleine lune. Tout est si en rondeurs chez lui que, lorsque je vois des clients le saluer d'une amicale tape sur l'épaule, j'ai toujours peur qu'il se mette à rouler en renversant tables, chaises et tout ce qui se trouve sur son passage.
Le 0,5, c'est pour le fait que cet Apollo-ci ne connaît pas de Mer de la Tranquillité. Il a posé son engin un peu plus loin, sur le boulevard Saint-Laurent, à droite en montant, juste avant la Petite-Italie. Ce coin de la Main n'est pas tranquille, il est moribond. Mais on sent déjà un frémissement et l'on pressent une sortie imminente de cet endormissement qui aura duré quelques années.
Le resto Apollo contribuera sans doute à ce nouvel essor. Décor chic et retenu, un peu fils de pub, banquettes moelleuses et chaises spartiates (lire: dures comme l'âme d'un banquier). Derrière le mur du fond en vitrine, les cuisiniers cuisinent. Ça a quelque chose de rassurant. Le soir de notre passage, de nombreux groupes de jeunes gastronomes s'égayaient aux belles tables du restaurant. Ils riaient beaucoup, parlaient fort, comparaient les crus apportés et commentaient avec admiration les plats. Des tablées disparates, mais ayant en commun un plaisir évident
de se trouver à une bonne adresse pour festoyer. Un vrai plaisir également à observer.
La formule de ce nouvel Apollo est originale; ni carte, ni menu. Au mur, des propositions selon les saisons, les arrivages et l'humeur du chef. On part avec des choses comme: "Les pâtes", "Le canard", "Le veau", "Le boeuf" et l'on se retrouve avec de grandes assiettes carrées en bois sur lesquelles reposent quatre petits plats formant un casse-tête ensoleillé. Trois déclinaisons sur le thème choisi, plus une portion de légumes, version "apollonesque" du truc alimentaire de Santé Canada. En plus érotique, évidemment.
Nous avions choisi "Champignon" et "Saumon"; "Fromage" - ne serait-ce que pour regretter davantage d'avoir oublié à la maison sur la table de l'entrée ces deux petites bouteilles d'Irancy qui auraient si bien éclairé la soirée -, "Épices" et "Sorbets", pour finir dans la soie.
En amuse-bouche, arrivent deux jolis petits pilons de pintade croustillants, salsa pimentée. Parfaits pour débuter, intrigants, amusants. Comme l'air du garçon annonçant "cuisses de poulet", sans doute décontenancé par toutes les belles jeunes filles babillant à la table voisine.
Première déclinaison sur le champignon: Ragoût de trompettes de la mort (craterellus cornucopioide, pour les mêmes puristes que ci-haut) et morilles, feuille de jambon Serrano. Le plat est parfait, même si l'on peut trouver discutable et inutilement vindicatif le choix d'un jambon espagnol quand on ouvre un établissement si près du quartier italien. Sans doute le côté Zizou du chef. Impeccable tartelette au cèpe, émulsion à la truffe blanche et Armillaire couleur miel sauté, fondant de bleu bénédictin, ce dernier trop fort comme toujours pour partager harmonieusement l'assiette avec quoi que ce soit.
On enchaîne sur le saumon. Une triplette si belle qu'elle pousse à se réconcilier avec ce poisson un peu ressassé: moelleux tartare de saumon à l'huile de tangerine; incroyable tendreté du pavé de saumon à l'unilatéral, quenelle d'avocat au yuzu et radis croquants; et touches d'Orient dans le cube de saumon au parfum de sésame.
Ici encore dans les trois petites assiettes, une belle maîtrise technique, une judicieuse utilisation des éléments dont on tire le meilleur selon leurs caractéristiques spécifiques et une délicatesse extrême dans la présentation des mariages parfois très alambiqués. En d'autres termes, si vous voulez vous prendre la tête avec la cuisine de monsieur Apollo, vous pouvez; mais si vous voulez vous détendre et savourer paisiblement, vous pouvez aussi.
Quartet de fromages assez insignifiant. La maison est jeune, les fromages l'étaient malheureusement tout autant. Et si c'est une qualité dans un cas, dans le second, c'est un défaut. Appelez un fromager-affineur au plus vite, de grâce.
En dessert, première déclinaison sur les épices: Couscous au ras-el-hanout et à l'ananas, quelques copeaux de coco, puis Petit pain d'épice rôti, confiture de lait, deux desserts amusants, certes, mais sans plus; alors que les deux autres membres de la famille: Nage de petits fruits, sirop léger à la cardamome et Glace au fromage et à l'anis étoilé constituent une halte obligatoire dans la soirée. Et seconde déclinaison sur les sorbets avec notamment une interprétation assez allumée de sorbet aux agrumes, à base de pomelo, ou aux dattes, tout aussi dynamisante.
Apollo
6389, boulevard Saint-Laurent
514 274-0153
Ouvert en soirée du mardi au samedi. Préparez un beau billet rouge du Dominion par personne, avant boissons, taxes et pourboire. Si vous tombez dans l'excès, ce qui est tout à fait plausible compte tenu du côté lutin de la carte, préparez un autre billet rouge pour éponger le tout. Et en parlant d'éponger, la maison chargeant un petit droit de bouchon de 8 $, comme cela se pratique dans les meilleures chaumières, apportez donc une de ces belles bouteilles que vous cachez au fond de la cave en prévision de l'apparition d'une belle table. Celle-ci en est une assurément.
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Frais de bouchon ? non merci.
Quand je prends la décision d'aller manger un magret de canard dans un resto AVV (apporter votre vin), je suis parfaitement conscient que mon assiette me coutera peut-être un dix dollars de plus que si j'aurais choisi un resto conventionnel. Et ça, je l'accepte sans chigner car j'ai l'opportunité de boire la bouteille apportée de mon choix sans supplément.
Il ne faut pas se leurrer, les prix sont généralement "jacké" dans les Christophe, Infidèles, Yoyo, A l'Os, etc... de ce monde.
Vous douter ? Allez comparer par exemple combien coute un confit de canard au Petit Extra sur Ontario versus un des restos cités ?
Autre exemple, demain soir avec un groupe d'amis je vais dans un AVV où je sais d'avance le prix que va me couter mon cassoulet est un gros 10$ de plus que si j'avais été à La Rapière. Je vis très bien avec ça et j'y vais pareil. C'est mon choix.
J'étais heureux à la lecture de la chronique de cette semaine de découvrir l'arrivée d'un resto AVV italien "haut de gamme", ce qui manquait vraiment à Montréal. Mais quand j'ai appris l'histoire du droit de bouchon à 8$, non merci.
J'accepte que le restaurateur me charge un plus haut prix pour ce que je mange, mais si en plus de l'extra que j'ai à débourser, il y a une charge supplémentaire pour la bouteille apportée, et bien par principe je peux vous assurer que jamais je n'y mettrai les pieds (à moins qu'il ne change sa politique)
C'est pas que je suis près de mes cennes (j'aurais probablement tiré de ma cave un vieux Sassicaia ou Ornellaia si j'avais décidé d'essayer ce resto), mais je suis vraiment contre le principe.
Et bien que ce n'est pas dans ma nature je souhaite presque qu'il se plante, car imaginez que si son resto reste quand même bondé, ça pourrait donner des idées aux autres AVV d'appliquer éventuellement la même politique.
Alain Smith
13 octobre 2006
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chère la chair
Je suis d'accord sur une chose avec vous mon cher Tastet , c'est de savoir qu'un bon restaurant peut raviver un bout de rue qui était moribond en attirant une clientèle qui attirera d'autres commerçants . Un peu beaucoup de ce qui est arrivé avec le Théatre Corona à St-Henri .
J'aime bien lire vos descriptions alléchantes qui font saliver , mais j'ai toujours une peu de misère avec une addition qui frole ou égale le budget hebdomadaire d'épicerie de bien des familles . Je trouve aussi tellement exagéré de payer pour l'utilisation d'un tire-bouchon et de deux verres .
Le menu qui change au gré des humeurs du chef ou des arrivages est peut-être aussi quelque chose de risqué , car il y a des clients plutôt conservateurs qui fréquentent un établissement pour tel ou tel plat et qui n'ont pas envie de faire des découvertes culinaires .
Ce restaurant pourrait être qualifié de lieu où l'on se rend pas souvent et juste pour les grandes ou très grandes occasions , car voyez vous , la chair est chère .
Richard Marenger
13 octobre 2006
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Un envol
C'est toujours agréable de voir un restaurant prendre son envol, un chef, connu, du moins un peu, s'élancer vers de nouveaux sommets. Et un critique, qui a repéré l'endroit, nous le faire découvrir.
Et bien! J'ai été intrigué autant pas l'endroit que par la formule. Oui, j'irai et bientôt car cela fait partie de l'apprentissage d'une ville et de la cuisine qu'elle sert. Il faut sortir des sentiers battus et ce restaurant me semble répondre à cela.
Il faut faire preuve de beaucoup d'audace et d'imagination pour qu'un chef se lance ainsi tous les soirs dans ces combinaisons. Il faut aussi beaucoup d'audace et d'imagination à nous dîneurs de vouloir entrer dans le jeu. Et certains, trop consommateurs et pas assez dîneurs, n'osent pas le faire.
Oui, je paierai le 8$ de frais de débouchonnage car ainsi je saurai qu'il ne me faudra pas apporter la bouteille du dépanneur.
Bravo pour l'initiative. J'essaierai maintenant le résultat.
Pierre Blain
13 octobre 2006
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Très cher, mais ça vaut la peine une fois
Je vous l'accorde que le prix n'est pas donné, mais je pense que ce restaurant vaut le détour au moins une fois dans sa vie. J'y suis allée la semaine dernière et j'ai été plus qu'épatée par les choses qui m'ont été proposées. C'est super intéressant et surtout différent d'avoir un plan qui se décline en trois choix parce que ce n'est pas quelque chose qui se fait ailleurs. Si vous aimez les champignons, laissez-vous tenter par ce trio, vous n'allez pas le regretter et votre palais en redemandera!! L'ambiance y est très bien et le personnel accueillant et très serviable. Ils veulent nous accomoder et c'est très bien de leur part. Alors ne vous laisser pas rabattre par le prix et allez-y juste pour goûter les mets délicieux qui y sont servis.
Lyne Gauthier
13 octobre 2006
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Rien de bien différent
En fait, j'ai apprécié ce resto. Un peu cher pour ce qu'on offre, mais la nourriture est bonne. Mais rien ne distingue ce resto des 100 autres de sa catégorie à montréal. On ne devrait pas le bouder car c'est un bon "compromis" mais si vous voulez épater la galerie, n'y aller pas.
Le fait que le menu est "suprise" me fait pensé au resto du coin qui change son menu du mide à tous les jours. C'est le fun pour diner, mais pour un bon souper, c'est plaisant de savoir que notre plat préféré va être sur le menu.
Une note de 4 sur 10
Carmen Durand
13 octobre 2006
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très cher pour si peu
C'est certain que ce resto a une bonne réputation avant même ce papier dans le voir. Pour y avoir été le mois dernier, je peux dire que c'est très cher pour ce que c'est. Je ne comprends pas non plus pourquoi chargé 8$ pour boire mon vin. Avoir su, je l'aurais bu chez moi relax avec une bouteille qui vaut 8$ de plus. Je trouve ça ridicule de dire apporter votre vin quand il nous charge. Je ne comprends pas cette mode qui est de plus en plus présente. C'est comme avec l'eau, plus moyen de boire de l'eau gratuitement quand on se paye un bon resto, je ne comprends pas!
Pour ce qui est de la bouffe, j'aime bien avoir une idée du menu avant d'arriver. Moi je m'étais fait décrire les plats avant d'y aller, au moins la moitié des plats que j'avais entendu parler n'étaient pas disponibles, je trouve ça plate un peu. C'est quand même cher 160$ pour deux et être obligé d'apporter son vin. je connais des très bons restos où l'on s'en tire à 130$ vin et verres à vin inclus!!
Pour ceux qui ont de l'argent seulement, sinon continuer sur St-Laurent, vous allez trouver de très bons restos!
Martin Rochon
12 octobre 2006
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Apollo, a pas l'oseille des surprises
C'est bien connu les restaurants affichant "Apportez votre vin" se reprennent au détour, le prix des plats est conflé même sans alcool, le nouveau resto planétaire atterri sur le Boulevard Saint-Laurent Apollo, a pas longtemps hésité pour exiger un cover charge de 8.00$ pour fournir deux verres pour la consommation de notre bouteille de vin sortie de notre cave ou tout juste achetée avant la fermeture de la succursale de la Société des Alcools, ma réaction est puisqu'il est gros le chef, il doit être gourmand, alors à quel prix peut-on manger à sa faim, avec un menu changeant écrit sur ardoise murale, j'aime les surprises, surtout pour mon anniversaire et à Noël, mais à part çà j'aime bien savoir où je m'en vais, même si les no where sont romantiques, me faire une idée du total de l'addition à payer, m'incite à téléphoner pour avoir des détails précis, j'ai les pieds sur terre même à table.
Robert Boulay
12 octobre 2006
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Olympie
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J'y suis allée vendredi et j'ai bien aimé. Concept différent, j'aime l'idée d'avoir 3 façons différentes de goûter un mets dans mon assiette. L'entrée de bettrave était superbe. Contente de l'avoir essayé une fois, mais ne crois pas que je vais y retourner. Pour le prix, je vais essayer autre chose.
PS. Le frais de bouchon est maintenant à 5$.
PS. Le frais de bouchon est maintenant à 5$.