Clos des Lambrays 2006
Posté : mar. 07 juil. 2020 9:14
Pour mes 49 ans… hé oui, dernière année dans la quarantaine!
Clos des Lambrays 2006.
Que du bonheur. Premièrement, je suis bien heureux d’avoir acheté cette bouteille, une deuxième de deux, avant la flambée des prix des Bourgognes en général.
À voir ce que coûte cette bouteille sur le millésime courant, je suis dans la fausse des Mariannes face à ces prix stratosphériques!
Le vin;
À l’œil, les signes sont encourageants. Pour un Bourgogne de 14 ans, la couleur est très soutenue, le pourtour est à peine tuilé. Je ne comprends pas! Je sais qu’à l’origine, c’est un vin qui montre une belle opacité et un rouge vif plutôt que cerise claire, mais, il a 14 ans, ça ne devrait pas être plus claire et plus orangé?
Au nez : Un festival. Tabac brun, des notions de viandes séchées, écorce d’orange, il reste du fruit en plus, mais plutôt de la mure, du cassis, alouette! C’est la profondeur qui est marquante, on ne se lasse pas de s’imprégner des effluves.
En bouche : La magie opère. Suave, sans aspérité. D’une allonge extraordinair, expansive.
Je crois vraiment que j’ai bu ce vin au meilleur de son expression. Toutefois, son plateau pourrait s’avérer long, bien long. S’il m’en restait une, je n’aurais aucune crainte à l’ouvrir dans un autre 7- 8 ans, mais après avoir goûté ce que j’ai goûté, je n’aurais pas la patience!
Clos des Lambrays 2006.
Que du bonheur. Premièrement, je suis bien heureux d’avoir acheté cette bouteille, une deuxième de deux, avant la flambée des prix des Bourgognes en général.
À voir ce que coûte cette bouteille sur le millésime courant, je suis dans la fausse des Mariannes face à ces prix stratosphériques!
Le vin;
À l’œil, les signes sont encourageants. Pour un Bourgogne de 14 ans, la couleur est très soutenue, le pourtour est à peine tuilé. Je ne comprends pas! Je sais qu’à l’origine, c’est un vin qui montre une belle opacité et un rouge vif plutôt que cerise claire, mais, il a 14 ans, ça ne devrait pas être plus claire et plus orangé?
Au nez : Un festival. Tabac brun, des notions de viandes séchées, écorce d’orange, il reste du fruit en plus, mais plutôt de la mure, du cassis, alouette! C’est la profondeur qui est marquante, on ne se lasse pas de s’imprégner des effluves.
En bouche : La magie opère. Suave, sans aspérité. D’une allonge extraordinair, expansive.
Je crois vraiment que j’ai bu ce vin au meilleur de son expression. Toutefois, son plateau pourrait s’avérer long, bien long. S’il m’en restait une, je n’aurais aucune crainte à l’ouvrir dans un autre 7- 8 ans, mais après avoir goûté ce que j’ai goûté, je n’aurais pas la patience!