La guerre et le vin...
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La guerre et le vin...
Mon épouse m'a offert un livre qu'elle m'a fait venir de France : La guerre et le vin de : Don et Petie Kladstrup éditions Perrin. On y apprend des choses intéressantes comme : il est arrivé que les Français ont manqués de vin ... que le vin a permis aux alliers de connaître les déplacements des Allemands ... que de la '' piquette '' fut passé pour de grands vins grâce à des étiquettes de grand vin ...les Allemands pouvaient achetés un million de bouteilles en une seule commande ...comment on a caché de grands crus ... Curieusement il nous faut parfois retourner dans l'histoire pour comprendre . Bref, un beau livre qu'il fait bon lire .
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Mathusalem
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pango
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J'ai lu ce livre dernièrement et voilà ce que j'en disais à l'époque:
Mon intérêt pour ce livre variait selon les chapitres. La découverte de la cave privée du Reich (18 000 bouteilles) et les relations entre les vignerons et les "Weinführer" (acheteurs et gestionnaires allemands du vin français) sont les chapitres les plus intéressants. Quoique parfois un peu complaisant, car on s'intéresse seulement au grandes maisons, aux grandes familles et aux grands crus. Comme si le vin c'est seulement que cela et que les gens des plus petits domaines ne rencontraient aucune difficulté. Si les grands grands crus du bordelais ont réussi à refiler de la piquette aux allemands, c'est certainement à cause des producteurs "secondaires" qui les alimentaient. Le livre évacue cet aspect, dommage.
J'ai trouvé intéressant de voir la difficulté avec laquelle, les vignerons devaient produire. Entre 1939-45, il n'était pas évident de trouver de la main-d'oeuvre, des fongicides (la récolte de 1940 en Bourgogne a été envahi par les maladies fongiques), du sucre, etc... Les allemands voulaient du Champagne, mais ils imposaient des quotas sur les heures de fourniture en électricité.
Dans l'ensemble, une lecture agréable qui fait comprendre qu'il existe certainement plusieurs bouteilles de grands crus de la période 1939-45 qui sont que de la vulgaire piquette.
Mon intérêt pour ce livre variait selon les chapitres. La découverte de la cave privée du Reich (18 000 bouteilles) et les relations entre les vignerons et les "Weinführer" (acheteurs et gestionnaires allemands du vin français) sont les chapitres les plus intéressants. Quoique parfois un peu complaisant, car on s'intéresse seulement au grandes maisons, aux grandes familles et aux grands crus. Comme si le vin c'est seulement que cela et que les gens des plus petits domaines ne rencontraient aucune difficulté. Si les grands grands crus du bordelais ont réussi à refiler de la piquette aux allemands, c'est certainement à cause des producteurs "secondaires" qui les alimentaient. Le livre évacue cet aspect, dommage.
J'ai trouvé intéressant de voir la difficulté avec laquelle, les vignerons devaient produire. Entre 1939-45, il n'était pas évident de trouver de la main-d'oeuvre, des fongicides (la récolte de 1940 en Bourgogne a été envahi par les maladies fongiques), du sucre, etc... Les allemands voulaient du Champagne, mais ils imposaient des quotas sur les heures de fourniture en électricité.
Dans l'ensemble, une lecture agréable qui fait comprendre qu'il existe certainement plusieurs bouteilles de grands crus de la période 1939-45 qui sont que de la vulgaire piquette.
"Les hommes boivent et ils ne sont pas heureux." Albert Camus (variation)
