L'été, l'été, l'été c'est fait pour jouer, l'été, l'été....
- Pedro The Lion
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Re: L'été, l'été, l'été c'est fait pour jouer, l'été, l'été.
Je dirais plutôt un méchant GROS weekendPedro The Lion a écrit :De retour d'un magnifique petit week-end à la campagne .......
"Le vin est le plus infaillible des présages car il annonce la joie, la franche gaieté, le bonheur enfin." - Philippe Aubert de Gaspé
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Re: L'été, l'été, l'été c'est fait pour jouer, l'été, l'été.
Je ne suis pas bon pour les CR mais à part la bizarre de bouette (Gamay vin de pays de saone et loire) que j'avais apporté il n'y avait que du bon.ludwig a écrit :Des commentaires sur les vins?
Mon top 4 serait probablement (dans l'ordre des photos):
Alsace Grand CRu Sommerberg 2004 de Schoffit
Cotat 2004 Sancerre Cul de Beaujeu
Pontet Canet 2001
Fargues 2003
Grâce à mon plus vieux, tout le monde va fredonner "brosse brosse brosse, jme brosse les dents, celles d'en....."
L'abus de modération nuit gravement à la santé et encore plus au moral!
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Re: L'été, l'été, l'été c'est fait pour jouer, l'été, l'été.
Le Côte-Rôtie ça disait quoi?
Conseil de Bizon Bourré ; FONCEZ!
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Re: L'été, l'été, l'été c'est fait pour jouer, l'été, l'été.
Il démontrait une belle fraîcheur, de même qu'un fruit agraéble, mais je dois dire que je ne l'ai pas trouvé très complexe, ni très long. Je ne crois pas que j'aurais reconnu sa provenance à l'aveugle.Bizon Bourré a écrit :Le Côte-Rôtie ça disait quoi?
Nul n'est censé ignorer la Loire! Glougueule.fr
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Re: L'été, l'été, l'été c'est fait pour jouer, l'été, l'été.
Quelques impressions sur les vins:
Le Kabinett de Egon Müller 2007 était légèrement défectueux, mais nous l'avons quand même bu... L'impression de sucre était beaucoup moins grande que ce à quoi je m'attendais pour un vin qui tire à 10%. Ça pétrolait à fond. Bel équilibre, rendu par une acidité bien présente.
Un Wow pour le Grand Cru Sommerberg de Schoffit 2004. Couleur dorée, texture grasse, complexité aromatique impressionnante et totalement sec.
Le Bourgueil 1995 du Domaine de la Chevalerie était textbook (fruit rouge, poivron, belle acidité).
J'ai préféré les deux autres bouteilles de Morgon 2009 de Marcel Lapierre que j'ai goûtées. Le fruit était moins éclatant. Pas de doute, il y a de la variabilité de bouteilles!
Le Cellier aux Moines 2007 de Joblot avait encore un peu de gras de bébé. Il reste du bois à intégrer!
Le Vouvray Moelleux 2005 de Foreau était vraiment sur la finesse. L'acidité était à l'avant-plan, si bien qu'il ne paraissait pas si sucré. Les arômes étaient typiquement chenin, sur la pomme cuite et le coing, avec une touche d’épices.
Les Champagnes de Dauvergne étaient vraiment bons, surtout après plusieurs minutes d’aération. J’ai une préférence pour le Fine Fleur, plus gras, plus ample.
Les Culs de Beaujeu 2004 de Cotat : un autre Wow. Pas une ride, robe à peine jaunâtre, acidité vive sans être dérangeante. Il prend une ampleur impressionnante en bouche après l’attaque (gazon coupé, agrumes), et se termine sur des notes salines.
Morgon James 2009 de Burgaud : Je l’ai trouvé accessible malgré son jeune âge. Après une heure d’aération, le fruit rouge éclatant ressort. Bien structuré, bien concentré, bâti pour la garde, mais plus accessible que le Javernières du même millésime que j’ai goûté.
La bouteille de Gamay des Vins de Fossiles 2005 n’a pas été bue au complet… C’était bien à l’ouverture, mais ça se gâchait rapidement.
J’ai beaucoup aimé le Blaufrankish 2007 de Wenzel. Son fruit était très pur et à l’avant-plan. Ses tannins étaient présents, il démontrait une bonne acidité. Il était plutôt concentré et profond pour un autrichien… En donne pour son prix (40$ en IP chez Alain Bélanger)
Le Pontet-Canet 2001 a mis beaucoup de temps à sortir de sa carapace. Il a longtemps montré un caractère très lacté au nez. J’ai l’impression qu’il aurait gagné à vieillir encore.
Le Bonnezeaux de Renou 2002 (un ultime VES) avait une robe cuivrée et un profil aromatique très évolué sur les champignons et les pommes cuites. Il était tout de même très bon.
Le Banyuls de Tour Vieille m’a dépucelé de cette appellation. Un fruit éclatant, des épices et moins de sucre que je pensais.
Fargues 2003. Faut aimer le sucre! Complexe, long et presque crémeux! Très riche, mais pas si lourd.
Le Kabinett de Egon Müller 2007 était légèrement défectueux, mais nous l'avons quand même bu... L'impression de sucre était beaucoup moins grande que ce à quoi je m'attendais pour un vin qui tire à 10%. Ça pétrolait à fond. Bel équilibre, rendu par une acidité bien présente.
Un Wow pour le Grand Cru Sommerberg de Schoffit 2004. Couleur dorée, texture grasse, complexité aromatique impressionnante et totalement sec.
Le Bourgueil 1995 du Domaine de la Chevalerie était textbook (fruit rouge, poivron, belle acidité).
J'ai préféré les deux autres bouteilles de Morgon 2009 de Marcel Lapierre que j'ai goûtées. Le fruit était moins éclatant. Pas de doute, il y a de la variabilité de bouteilles!
Le Cellier aux Moines 2007 de Joblot avait encore un peu de gras de bébé. Il reste du bois à intégrer!
Le Vouvray Moelleux 2005 de Foreau était vraiment sur la finesse. L'acidité était à l'avant-plan, si bien qu'il ne paraissait pas si sucré. Les arômes étaient typiquement chenin, sur la pomme cuite et le coing, avec une touche d’épices.
Les Champagnes de Dauvergne étaient vraiment bons, surtout après plusieurs minutes d’aération. J’ai une préférence pour le Fine Fleur, plus gras, plus ample.
Les Culs de Beaujeu 2004 de Cotat : un autre Wow. Pas une ride, robe à peine jaunâtre, acidité vive sans être dérangeante. Il prend une ampleur impressionnante en bouche après l’attaque (gazon coupé, agrumes), et se termine sur des notes salines.
Morgon James 2009 de Burgaud : Je l’ai trouvé accessible malgré son jeune âge. Après une heure d’aération, le fruit rouge éclatant ressort. Bien structuré, bien concentré, bâti pour la garde, mais plus accessible que le Javernières du même millésime que j’ai goûté.
La bouteille de Gamay des Vins de Fossiles 2005 n’a pas été bue au complet… C’était bien à l’ouverture, mais ça se gâchait rapidement.
J’ai beaucoup aimé le Blaufrankish 2007 de Wenzel. Son fruit était très pur et à l’avant-plan. Ses tannins étaient présents, il démontrait une bonne acidité. Il était plutôt concentré et profond pour un autrichien… En donne pour son prix (40$ en IP chez Alain Bélanger)
Le Pontet-Canet 2001 a mis beaucoup de temps à sortir de sa carapace. Il a longtemps montré un caractère très lacté au nez. J’ai l’impression qu’il aurait gagné à vieillir encore.
Le Bonnezeaux de Renou 2002 (un ultime VES) avait une robe cuivrée et un profil aromatique très évolué sur les champignons et les pommes cuites. Il était tout de même très bon.
Le Banyuls de Tour Vieille m’a dépucelé de cette appellation. Un fruit éclatant, des épices et moins de sucre que je pensais.
Fargues 2003. Faut aimer le sucre! Complexe, long et presque crémeux! Très riche, mais pas si lourd.
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