Diner du réveillon du 31/12/2014 à notre domicile
- Astérias
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Diner du réveillon du 31/12/2014 à notre domicile
Bouchard Père et fils : Meursault Gouttes d’Or 2008
Servi avec des feuilletés de cèpes au foie gras
La robe, de couleur or fin est brillante, le nez net et intense, évoque les agrumes ( citrons et oranges), de fines noisettes, avec des notes florales ( verveine dominante), avec des notes pierreuses, et un petite pointe d’épices indiennes. La bouche est élégante, pure, très veloutée, le vin prend de l’ampleur et de la densité dans un centre fruité mis en valeur par une fraîcheur impeccable, qui dynamise et allonge une finale très pure charnue, et très persistante ( agrumes, fleurs, notes d’épices) ponctuée de nettes notes salines. Noté 17, même note plaisir.
Saint Julien : Gruaud Larose 1989
Servi avec des noix de Saint Jacques et saucisse de Morteau aux chanterelles
bouteille épaulée trois heures avant la dégustation
La robe, d’une belle jeunesse, de teinte sanguine, légèrement évoluée au bord du verre, le bouquet est intense et séduisant avec des arômes encore frais de cassis mûr, de cerises, de roses, d’épices douces, de léger tabac blond, avec des notes sanguines. L’attaque est très veloutée à soyeuse, les tannins fins et mûrs se trament dans un corps, plein, allongé, charnu, rehaussé de fruits épicés. La finale est longue, soutenu, fraîche, les tannins restent enrobés par une chair de bon aloi, persistante et complexe, avec les saveurs décelées à l’olfaction. Noté 17, même note plaisir. Le lendemain les arômes tertiaires se sont intensifiés. Une bouteille du même lot, goûté il y a trois s’est montrée être plus évoluée. A boire pour ceux qui aiment la présence de fruits.
Les deux vins suivants ont accompagné des lasagnes de ris de veau aux morilles et des pigeons confits aux pleurotes.
Saint Emilion : La Mondotte 2003
carafée trois heures avant la première dégustation et bue sur 48 heures
La robe est assez profonde à profonde, sanguine et pourpre à grenat au bord du verre, le nez est intense, avec au premier plan des arômes de cerise légèrement kirschées, de boite à épices, de truffes noires, et des notes de thé noir. L’attaque est généreuse, les tannins fins et mûrs sont enrobés par une chair serrée et soyeuse, le centre est sphérique et dense, tout en conservant une grande douceur tactile, rehaussée d’intenses fruits épicés. La finale est longue, sensuelle, pulpeuse, d’une bonne fraîcheur dans le contexte du millésime, très persistante grâce aux intenses saveurs décelées à l’olfaction. Noté 18, note plaisir 17,5. A attendre encore un peu pour davantage de complexité aromatique
Saint Emilion : Pavie Macquin 2003
deuxième jour
La robe est profonde de couleur sanguine, évoluant vers des teintes grenat au bord du disque. Le bouquet très expressif et net évoque les cerises kirschées, les épices douces ( gingembre et cannelle), la truffe noire, et des notes sanguines, et de très léger élevage pas encore entièrement fondus. La bouche est très veloutée en attaque, une chair bien formée, mais moins dense que celle de La Mondotte enrobe des tannins serrés, le milieu de bouche est puissant et sphérique, agrémenté de fruits bien mûrs et épicés. La finale est longue, autoritaire, avec des tannins qui restent enrobés, mais au toucher un peu plus crayeux, d’une bonne fraîcheur, très aromatique (fruits, épices, truffe noire) . Noté 17,5, note plaisir 17. A attendre encore, sinon aérer trois bonnes heures en carafe.
Sauternes : Lafaurie Peyraguey 2001
Servi avec un cheese-cake au citron vert et à la noix de coco
commentaire du deuxième jour ( moitié de bouteille restante)
La robe offre une teinte dorée assez soutenue. L’olfaction est pure et intense, avec des arômes d’abricot, de mangue, de morilles séchées, d’épices orientales, de miel, et de légère mandarine confite. La bouche est onctueuse, très riche, ample, volumineuse, dotée d’une liqueur, pure, dense, soulignée par de superbes fruits rôtis. La finale est longue, très séduisante, très appuyée, pure, harmonieuse, mis en valeur par les saveurs complexes observées à l’olfaction. Noté 18, voir plus, note plaisir 17,5 (après aération). Un grand et long avenir
Servi avec des feuilletés de cèpes au foie gras
La robe, de couleur or fin est brillante, le nez net et intense, évoque les agrumes ( citrons et oranges), de fines noisettes, avec des notes florales ( verveine dominante), avec des notes pierreuses, et un petite pointe d’épices indiennes. La bouche est élégante, pure, très veloutée, le vin prend de l’ampleur et de la densité dans un centre fruité mis en valeur par une fraîcheur impeccable, qui dynamise et allonge une finale très pure charnue, et très persistante ( agrumes, fleurs, notes d’épices) ponctuée de nettes notes salines. Noté 17, même note plaisir.
Saint Julien : Gruaud Larose 1989
Servi avec des noix de Saint Jacques et saucisse de Morteau aux chanterelles
bouteille épaulée trois heures avant la dégustation
La robe, d’une belle jeunesse, de teinte sanguine, légèrement évoluée au bord du verre, le bouquet est intense et séduisant avec des arômes encore frais de cassis mûr, de cerises, de roses, d’épices douces, de léger tabac blond, avec des notes sanguines. L’attaque est très veloutée à soyeuse, les tannins fins et mûrs se trament dans un corps, plein, allongé, charnu, rehaussé de fruits épicés. La finale est longue, soutenu, fraîche, les tannins restent enrobés par une chair de bon aloi, persistante et complexe, avec les saveurs décelées à l’olfaction. Noté 17, même note plaisir. Le lendemain les arômes tertiaires se sont intensifiés. Une bouteille du même lot, goûté il y a trois s’est montrée être plus évoluée. A boire pour ceux qui aiment la présence de fruits.
Les deux vins suivants ont accompagné des lasagnes de ris de veau aux morilles et des pigeons confits aux pleurotes.
Saint Emilion : La Mondotte 2003
carafée trois heures avant la première dégustation et bue sur 48 heures
La robe est assez profonde à profonde, sanguine et pourpre à grenat au bord du verre, le nez est intense, avec au premier plan des arômes de cerise légèrement kirschées, de boite à épices, de truffes noires, et des notes de thé noir. L’attaque est généreuse, les tannins fins et mûrs sont enrobés par une chair serrée et soyeuse, le centre est sphérique et dense, tout en conservant une grande douceur tactile, rehaussée d’intenses fruits épicés. La finale est longue, sensuelle, pulpeuse, d’une bonne fraîcheur dans le contexte du millésime, très persistante grâce aux intenses saveurs décelées à l’olfaction. Noté 18, note plaisir 17,5. A attendre encore un peu pour davantage de complexité aromatique
Saint Emilion : Pavie Macquin 2003
deuxième jour
La robe est profonde de couleur sanguine, évoluant vers des teintes grenat au bord du disque. Le bouquet très expressif et net évoque les cerises kirschées, les épices douces ( gingembre et cannelle), la truffe noire, et des notes sanguines, et de très léger élevage pas encore entièrement fondus. La bouche est très veloutée en attaque, une chair bien formée, mais moins dense que celle de La Mondotte enrobe des tannins serrés, le milieu de bouche est puissant et sphérique, agrémenté de fruits bien mûrs et épicés. La finale est longue, autoritaire, avec des tannins qui restent enrobés, mais au toucher un peu plus crayeux, d’une bonne fraîcheur, très aromatique (fruits, épices, truffe noire) . Noté 17,5, note plaisir 17. A attendre encore, sinon aérer trois bonnes heures en carafe.
Sauternes : Lafaurie Peyraguey 2001
Servi avec un cheese-cake au citron vert et à la noix de coco
commentaire du deuxième jour ( moitié de bouteille restante)
La robe offre une teinte dorée assez soutenue. L’olfaction est pure et intense, avec des arômes d’abricot, de mangue, de morilles séchées, d’épices orientales, de miel, et de légère mandarine confite. La bouche est onctueuse, très riche, ample, volumineuse, dotée d’une liqueur, pure, dense, soulignée par de superbes fruits rôtis. La finale est longue, très séduisante, très appuyée, pure, harmonieuse, mis en valeur par les saveurs complexes observées à l’olfaction. Noté 18, voir plus, note plaisir 17,5 (après aération). Un grand et long avenir
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Re: Diner du réveillon du 31/12/2014 à notre domicile
Très beau CR et de bien beaux cols , merci encore du partage.Astérias a écrit :Bouchard Père et fils : Meursault Gouttes d’Or 2008
Servi avec des feuilletés de cèpes au foie gras
La robe, de couleur or fin est brillante, le nez net et intense, évoque les agrumes ( citrons et oranges), de fines noisettes, avec des notes florales ( verveine dominante), avec des notes pierreuses, et un petite pointe d’épices indiennes. La bouche est élégante, pure, très veloutée, le vin prend de l’ampleur et de la densité dans un centre fruité mis en valeur par une fraîcheur impeccable, qui dynamise et allonge une finale très pure charnue, et très persistante ( agrumes, fleurs, notes d’épices) ponctuée de nettes notes salines. Noté 17, même note plaisir.
Saint Julien : Gruaud Larose 1989
Servi avec des noix de Saint Jacques et saucisse de Morteau aux chanterelles
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La robe, d’une belle jeunesse, de teinte sanguine, légèrement évoluée au bord du verre, le bouquet est intense et séduisant avec des arômes encore frais de cassis mûr, de cerises, de roses, d’épices douces, de léger tabac blond, avec des notes sanguines. L’attaque est très veloutée à soyeuse, les tannins fins et mûrs se trament dans un corps, plein, allongé, charnu, rehaussé de fruits épicés. La finale est longue, soutenu, fraîche, les tannins restent enrobés par une chair de bon aloi, persistante et complexe, avec les saveurs décelées à l’olfaction. Noté 17, même note plaisir. Le lendemain les arômes tertiaires se sont intensifiés. Une bouteille du même lot, goûté il y a trois s’est montrée être plus évoluée. A boire pour ceux qui aiment la présence de fruits.
Les deux vins suivants ont accompagné des lasagnes de ris de veau aux morilles et des pigeons confits aux pleurotes.
Saint Emilion : La Mondotte 2003
carafée trois heures avant la première dégustation et bue sur 48 heures
La robe est assez profonde à profonde, sanguine et pourpre à grenat au bord du verre, le nez est intense, avec au premier plan des arômes de cerise légèrement kirschées, de boite à épices, de truffes noires, et des notes de thé noir. L’attaque est généreuse, les tannins fins et mûrs sont enrobés par une chair serrée et soyeuse, le centre est sphérique et dense, tout en conservant une grande douceur tactile, rehaussée d’intenses fruits épicés. La finale est longue, sensuelle, pulpeuse, d’une bonne fraîcheur dans le contexte du millésime, très persistante grâce aux intenses saveurs décelées à l’olfaction. Noté 18, note plaisir 17,5. A attendre encore un peu pour davantage de complexité aromatique
Saint Emilion : Pavie Macquin 2003
deuxième jour
La robe est profonde de couleur sanguine, évoluant vers des teintes grenat au bord du disque. Le bouquet très expressif et net évoque les cerises kirschées, les épices douces ( gingembre et cannelle), la truffe noire, et des notes sanguines, et de très léger élevage pas encore entièrement fondus. La bouche est très veloutée en attaque, une chair bien formée, mais moins dense que celle de La Mondotte enrobe des tannins serrés, le milieu de bouche est puissant et sphérique, agrémenté de fruits bien mûrs et épicés. La finale est longue, autoritaire, avec des tannins qui restent enrobés, mais au toucher un peu plus crayeux, d’une bonne fraîcheur, très aromatique (fruits, épices, truffe noire) . Noté 17,5, note plaisir 17. A attendre encore, sinon aérer trois bonnes heures en carafe.
Sauternes : Lafaurie Peyraguey 2001
Servi avec un cheese-cake au citron vert et à la noix de coco
commentaire du deuxième jour ( moitié de bouteille restante)
La robe offre une teinte dorée assez soutenue. L’olfaction est pure et intense, avec des arômes d’abricot, de mangue, de morilles séchées, d’épices orientales, de miel, et de légère mandarine confite. La bouche est onctueuse, très riche, ample, volumineuse, dotée d’une liqueur, pure, dense, soulignée par de superbes fruits rôtis. La finale est longue, très séduisante, très appuyée, pure, harmonieuse, mis en valeur par les saveurs complexes observées à l’olfaction. Noté 18, voir plus, note plaisir 17,5 (après aération). Un grand et long avenir
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Re: Diner du réveillon du 31/12/2014 à notre domicile
Merci Maxima.
Les vins de la rive droite du millésime 2003 offrent beaucoup de plaisir aujourd'hui après une aération de deux à trois heures en carafe.
Ceux du plateau calcaire, dans ce millésime ne sont pas si caricaturaux, et si totalement sudistes qu’on peut le lire ici ou là. L’aromatique est bien celle d’un millésime solaire, mais la structure et l’équilibre restent bordelais, avec une fraîcheur tout à fait convenable. Avec le temps, le terroir reprend ses droits sur le millésime (structure et équilibre des vins).
Les vins de la rive droite du millésime 2003 offrent beaucoup de plaisir aujourd'hui après une aération de deux à trois heures en carafe.
Ceux du plateau calcaire, dans ce millésime ne sont pas si caricaturaux, et si totalement sudistes qu’on peut le lire ici ou là. L’aromatique est bien celle d’un millésime solaire, mais la structure et l’équilibre restent bordelais, avec une fraîcheur tout à fait convenable. Avec le temps, le terroir reprend ses droits sur le millésime (structure et équilibre des vins).
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Re: Diner du réveillon du 31/12/2014 à notre domicile
Effectivement, j'ai de beaux souvenirs de quelques dégustations du Beauséjour Bécot 2003 dans les dernières années et ils avaient une belle rondeur et équilibre, pas de pruneaux confits comme dans certains autres 2003!Astérias a écrit :Merci Maxima.
Les vins de la rive droite du millésime 2003 offrent beaucoup de plaisir aujourd'hui après une aération de deux à trois heures en carafe.
Ceux du plateau calcaire, dans ce millésime ne sont pas si caricaturaux, et si totalement sudistes qu’on peut le lire ici ou là. L’aromatique est bien celle d’un millésime solaire, mais la structure et l’équilibre restent bordelais, avec une fraîcheur tout à fait convenable. Avec le temps, le terroir reprend ses droits sur le millésime (structure et équilibre des vins).
PS: Je dois avouer que Montrose 2003 est possiblement une exception en rive gauche car il est superbe!
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Re: Diner du réveillon du 31/12/2014 à notre domicile
J'ai fort bien goûté aussi Beauséjour Bécot 2003
Montrose et Lafite en 2003 avait, pour ma part, dominé la dégustation primeur des 2003 en rive gauche ( mais je n'ai pas dégusté Latour). En bouteille les vins s'étaient refermés, mais une deuxième dégustation 6 ans après sa naissance de Lafite 2003, avec Charles Chevalier avait montré un vin qui reprenait un caractère pauillacais. En 2003 la donnée importante du terroir, c'était d'avoir assez d'argile dans les sous-sols pour éviter un stress hydrique trop important d'où la réussite des meilleurs terroirs argileux de Pomerol, du plateau calcaire de Saint Emilion et de l'appellation Saint Estèphe et de quelques Pauillac.
Mes Montrose 2003 attendent tranquillement en cave leur vingtième année.
Montrose et Lafite en 2003 avait, pour ma part, dominé la dégustation primeur des 2003 en rive gauche ( mais je n'ai pas dégusté Latour). En bouteille les vins s'étaient refermés, mais une deuxième dégustation 6 ans après sa naissance de Lafite 2003, avec Charles Chevalier avait montré un vin qui reprenait un caractère pauillacais. En 2003 la donnée importante du terroir, c'était d'avoir assez d'argile dans les sous-sols pour éviter un stress hydrique trop important d'où la réussite des meilleurs terroirs argileux de Pomerol, du plateau calcaire de Saint Emilion et de l'appellation Saint Estèphe et de quelques Pauillac.
Mes Montrose 2003 attendent tranquillement en cave leur vingtième année.
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Re: Diner du réveillon du 31/12/2014 à notre domicile
Merci encore Astérias pour ces compléments d'informations, c'est très instructif (pour ma part) et intéressant...je ne m'en lasse pas.
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Re: Diner du réveillon du 31/12/2014 à notre domicile
personnellement, c'est votre menu qui me fait saliver !
''le bon vin est chargé de souvenir mais les souvenir ne sont pas toujours bon''
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Re: Diner du réveillon du 31/12/2014 à notre domicile
Mon épouse avait décidé d'élaborer les plats en retenant le thème des champignons. L'accord lasagnes de ris de veau aux morilles n'était pas des plus judicieux avec un vin rouge, il aurait fallu choisir un vin blanc et mettre le plat en deuxième position dans le menu. Des achats un peu tardifs d'aliments ont un peu perturbés le menu initialement prévu. Par contre l'accord pigeon et les deux Saint Emilion a été superbe ( un très grand plaisir), comme d'ailleurs le feuilleté de cèpes au foie gras, avec le Meursault Gouttes d' Or de Bouchard.
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Re: Diner du réveillon du 31/12/2014 à notre domicile
Votre plat de lasagne au morilles et ris de veau me fait penser a un plat complétement hallucinant que je mange a toute les année quand je vais a St-Martin : Une Lasagne de foie gras et morille avec sauce crème servi avec un petit jurançon! hummm.
Encore 11 mois avant d'y retourner
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Re: Diner du réveillon du 31/12/2014 à notre domicile
Merci, pour vos interventions. Je précise que nous ne buvons pas ce type de vins toutes les semaines, et qu'ils sont réservés, avec le menu adéquat à des moments festifs, ou à des repas entre amis/amateurs.