Quelques Bordeaux sur quatre décennies
Posté : lun. 18 juil. 2016 20:54
Un bref CR d'une petite dégustation avec quelques fous vendredi dernier!
Château La Gaffelière, Saint-Émilion, 1970 : D’une jolie couleur orangée, il exprime d’abord des arômes de réduction qui s’estompent rapidement pour offrir un joli bouquet juxtaposant feuilles mortes, feuilles de thé, fleurs, herbes fraîches et fruits rouges. La bouche montre une bonne acidité avec le fruit rouge, notamment la fraise, qui ressort tout en finesse avec une belle touche de menthe. La finale est sublime et longue. Quel beau vin tout en finesse!
Château Malartic-Lagravière, rouge, Pessac-Léognan, 2004 : Au nez il y a explosion de fruits (fraises et mûres), des olives et un peu d’élevage fin. La bouche offre beaucoup de fruits avec des tannins un peu carrés qui ont besoin de se fondre. Tous les éléments sont présents et ce vin se bonifiera assurément dans les prochaines années. Très bien.
Château Sociando Mallet, Haut-Médoc, 1997 : Superbe nez sur la cerise et la crème de cassis avec du cuir et de la violette (pas de poivron vert). La bouche explose en fruits noirs et offre une superbe acidité. Les tanins sont bien fondus et l’ensemble est bien équilibré. Vraiment excellent.
Château Moulin Saint-Georges, Saint-Émilion Grand Cru, 1998 (en format 4 L***) : Ce sont les cerises mures et les fines herbes qui ressortent au nez qui est très riche. Il y a beaucoup de fruits noirs, la matière est dense et jeune mais l’acidité permet de bien équilibrer le tout. Belle finale persistante. Très bien.
Château Les Ormes Sorbet. Médoc, 1990 : C’est principalement le cassis et la mûre qui ressortent au nez avec un petit côté « if du Canada » apportant un aspect végétal! En bouche, tout est en place entre l’acidité et le fruit pour donner un bel équilibre. La finale est d’une bonne longueur et agréable.
Château Pichon Longueville Comtesse de Lalande, Pauillac, 1983 : Sa couleur rouge-orangée rappelle un beau coucher de soleil d’une chaude journée d’été. Au nez c’est vraiment le cassis qui ressort avec de beaux arômes de cuir, de tabac et un peu de poivron vert. La bouche est d’une netteté et d’une pureté déconcertante. Le fruit est toujours présent et bien frais dans un ensemble vraiment harmonieux. Il y a aussi un beau côté herbacé et une longue finale. Ce vin ne fait pas son âge. On en redemande! Superbe!
*** petite blague sur le format faisant référence à SAQ N° 21329
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Château La Gaffelière, Saint-Émilion, 1970 : D’une jolie couleur orangée, il exprime d’abord des arômes de réduction qui s’estompent rapidement pour offrir un joli bouquet juxtaposant feuilles mortes, feuilles de thé, fleurs, herbes fraîches et fruits rouges. La bouche montre une bonne acidité avec le fruit rouge, notamment la fraise, qui ressort tout en finesse avec une belle touche de menthe. La finale est sublime et longue. Quel beau vin tout en finesse!
Château Malartic-Lagravière, rouge, Pessac-Léognan, 2004 : Au nez il y a explosion de fruits (fraises et mûres), des olives et un peu d’élevage fin. La bouche offre beaucoup de fruits avec des tannins un peu carrés qui ont besoin de se fondre. Tous les éléments sont présents et ce vin se bonifiera assurément dans les prochaines années. Très bien.
Château Sociando Mallet, Haut-Médoc, 1997 : Superbe nez sur la cerise et la crème de cassis avec du cuir et de la violette (pas de poivron vert). La bouche explose en fruits noirs et offre une superbe acidité. Les tanins sont bien fondus et l’ensemble est bien équilibré. Vraiment excellent.
Château Moulin Saint-Georges, Saint-Émilion Grand Cru, 1998 (en format 4 L***) : Ce sont les cerises mures et les fines herbes qui ressortent au nez qui est très riche. Il y a beaucoup de fruits noirs, la matière est dense et jeune mais l’acidité permet de bien équilibrer le tout. Belle finale persistante. Très bien.
Château Les Ormes Sorbet. Médoc, 1990 : C’est principalement le cassis et la mûre qui ressortent au nez avec un petit côté « if du Canada » apportant un aspect végétal! En bouche, tout est en place entre l’acidité et le fruit pour donner un bel équilibre. La finale est d’une bonne longueur et agréable.
Château Pichon Longueville Comtesse de Lalande, Pauillac, 1983 : Sa couleur rouge-orangée rappelle un beau coucher de soleil d’une chaude journée d’été. Au nez c’est vraiment le cassis qui ressort avec de beaux arômes de cuir, de tabac et un peu de poivron vert. La bouche est d’une netteté et d’une pureté déconcertante. Le fruit est toujours présent et bien frais dans un ensemble vraiment harmonieux. Il y a aussi un beau côté herbacé et une longue finale. Ce vin ne fait pas son âge. On en redemande! Superbe!
*** petite blague sur le format faisant référence à SAQ N° 21329