La taxe est une des raisons principales, mais Bordeaux est à la baisse depuis plus de deux ou trois ans...
Et à mon point de vue, ils l’ont vraiment cherché.
pour moi, Ça se préparait depuis 20 ans, et surtout cela s'accélérait depuis 3 ou 4 ans:
2018
https://www.lepoint.fr/vin/journal-des- ... 4_581.php
juillet 2019, très bons articles sur
https://www.lepoint.fr/vin/edito-vins-c ... 86_581.php
On y parle avec pertinence,
-De la maladie Bordelaise de faire plaisir au gros avocat buveur de Coke (Quand la folie des vins patapouf et barbe à papa s'est emparée des courtisans du roi Parker)
Moi même ai abandonné Bordeaux pour cette raison principalement il y a 15 ans , parce que je ne trouvais plus ces petits margaux chics, ou les pomerol frais des années 80/90.
-Des incongruités des «aristo» confirmés ou «wannabe» (« bien plus sain que les vieux fûts, plus économiques, pour un résultat identique » (sic) Hubert de Bouärd (Angélus)»)
-De la crise qui a secoué le Beaujolais durant 30 ans (l'usine à fruit rouge et à banane, et, la thermovinification en beaujolais fasse des merveilles au niveau du pif (on chauffe et ça pulse les arômes, un peu comme Pousse Mousse : tu pousses et ça mousse)
Prochaine victime d'un « backlash » , la bourgogne ?
mais malgré tout, et il faudra y mettre du temps), il y a espoir:
https://www.lepoint.fr/vin/tribune-l-ag ... 66_581.php
https://www.lepoint.fr/vin/la-question- ... 42_581.php