De retour d'un voyage de 10 jours en Toscane et à Rome, je ne peux que constater qu'il n'est plus avantageux d'acheter des vins disponibles à la SAQ là ou j'ai resté. Que ce soit dans la région de Chianti, à Florence, à Pise ou à Rome, la force de l'Euro fait en sorte qu'un Mormoreto 2005 (vraiment excellent) se détaille à E39,90, ce qui fait qu'il coute 65$ en canadien. Le 2004 est disponible à 58$ à la SAQ.
Pour les petits vins, il y a toujours aubaine mais plutôt de l'ordre de 30 à 40%, pas réellement plus.
Si j'ai un peu plus de temps, j'émettrai un compte rendu.
La Toscane est vraiment Magnifique!!
Merci à la SAQ pour une chose: être très aggressif pour le prix d'achat des vins
La force de l'Euro
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Sancerre
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Peu importe dans quel pays on voyage en Europe, il faut toujours faire attention. On trouve les meilleurs prix directement chez le producteur ou dans les épiceries ou grandes surfaces du type Carrefour. J'ai assisté au salon des vignerons indépendants à Paris en mars dernier et les prix étaient vraiment très bons parce que pas d'intermédiaire. Par contre, plusieurs cavistes dans les grandes villes comme Paris vendent à des prix exhorbitants, surtout les bannières connues telles Lavinia et Nicolas.
"I have taken more out of alcohol than alcohol has taken out of me. " Winston Churchill
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CD
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À l'été 2007, je visitais un caviste de Hazebrouck (près de St-Omer dans le Nord-Pas-de-Calais) avec un ami français. Il (le caviste) me disait que dans les grandes surfaces, les vins étaient souvent ceux commandés de grandes sociétés étrangères mais qui se désistent à un certain moment. Par conséquent, les producteurs se retrouvent avec des surplus qui doivent être écoulés. Ces vins se retrouvent souvent dans des entrepôts non réfrigérés, bref ils sont gardés dans conditions inquiétantes le temps de les mettres sur les étalages des grandes surfaces.
Parce que ces vins ne sont plus garantis sur le plan de la fraîcheur, les grandes surfaces les rachètent des producteurs à petit prix, ce qui laisse croire aux consommanteurs qu'ils font de vraies aubaines.
Sa petite cave en pierres étaient bien fraîche et la lumière toujours tamisée. En fait, quand on se déplaçait dans sa cave, des yeux magiques allumaient et éteignaient des petites lampes dissimuées au rythme de nos pas.
Le caviste disait avoir gouté tous les vins qu'il vendait et il connaissait chaque producteur de qui il achetait ses vins. Il garantissait ses produits qui venaient de plusieurs régions de France.
Bien sûr, je visitais un petit caviste indépendant et il pouvait bien prêcher pour sa paroisse, mais il n'en demeure pas moins que son discours était intéressant.
Plus tard dans mon voyage, j'ai pu constater les petits prix que l'on touve dans les Carrefour ou les Super U. Il faisait très chaud certains jours où je faisais mon marché dans ces garndes surfaces, et contrairemant aux supermarchés du Québec, ces grandes surfaces ne sont pas climatisées. Les milliers de bouteilles alignées sur des étalages interminables subissaient des températures supérieures à 25 degrés au mois de mai. J'ai alors repensé aux propos du caviste de Hazebrouck.
Quant aux véritables aubaines, elles ne sont pas toujours au rendez-vous dans ces grandes surfaces. Dans un Carrefour de la Loire, j'ai vu un Clos de los Siete à 16 euros. À ce moment là, un euro valait 1,60 $, ce qui rendait le vin au prix de 25,60 $, soit un dollar de plus que le prix de ce vin à la SAQ cette année.
Finalement, mon caviste n'avait peut-être pas tout à fait tort.
CD
Parce que ces vins ne sont plus garantis sur le plan de la fraîcheur, les grandes surfaces les rachètent des producteurs à petit prix, ce qui laisse croire aux consommanteurs qu'ils font de vraies aubaines.
Sa petite cave en pierres étaient bien fraîche et la lumière toujours tamisée. En fait, quand on se déplaçait dans sa cave, des yeux magiques allumaient et éteignaient des petites lampes dissimuées au rythme de nos pas.
Le caviste disait avoir gouté tous les vins qu'il vendait et il connaissait chaque producteur de qui il achetait ses vins. Il garantissait ses produits qui venaient de plusieurs régions de France.
Bien sûr, je visitais un petit caviste indépendant et il pouvait bien prêcher pour sa paroisse, mais il n'en demeure pas moins que son discours était intéressant.
Plus tard dans mon voyage, j'ai pu constater les petits prix que l'on touve dans les Carrefour ou les Super U. Il faisait très chaud certains jours où je faisais mon marché dans ces garndes surfaces, et contrairemant aux supermarchés du Québec, ces grandes surfaces ne sont pas climatisées. Les milliers de bouteilles alignées sur des étalages interminables subissaient des températures supérieures à 25 degrés au mois de mai. J'ai alors repensé aux propos du caviste de Hazebrouck.
Quant aux véritables aubaines, elles ne sont pas toujours au rendez-vous dans ces grandes surfaces. Dans un Carrefour de la Loire, j'ai vu un Clos de los Siete à 16 euros. À ce moment là, un euro valait 1,60 $, ce qui rendait le vin au prix de 25,60 $, soit un dollar de plus que le prix de ce vin à la SAQ cette année.
Finalement, mon caviste n'avait peut-être pas tout à fait tort.
CD
J'aime le vin et la compagnie des personnes qui aiment le vin.
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Picasso
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Le même vin est souvent retrouvé à différent prix selon son origine et selon le pays ou on l'achète. Lors d'un récent voyage en argentine, les vins argentins étaient à très bon prix (sauf dans les caves "touristique"). Tandis que les vins français étaient sensiblement le même prix qu'au Québec ou plus chère . En Europe les prix sont très variables. Selon mon expérience les vis sont chères en Italie et Autriche, correct en Belgique, Hollande ou France, mais les meilleurs prix sont au Luxembourg.