Dommage ! Au plaisir de se croiser lors d'une autre dégustation.alallier a écrit :Désolé mais je dois me retirer de la liste de participant de cette superbe dégustation. J'ai un imprévu qui m'empêche d'y être... Vraiment déçu
Je vous souhaites une belle dégustation.
Petit dreamer 2013
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Re: Petit dreamer 2013
Life is too short to drink bad wine.
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Re: Petit dreamer 2013
Désolé de ne pas pouvoir être des vôtres
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Re: Petit dreamer 2013
Après cette lecture, je dois te dire que tu as entièrement raison. Je songe même à quitter la grande dégustation.Goprom a écrit :Pierre tu aimes le bon vin et les femmes...comment ne pas être ton amiencore l'excellence des convives présentes.
En passant très belle liste de vins. Le niveau très relevé des dégustateurs est impressionnant aussi, il me semble légèrement supérieur à celui de la grande dégustation de rêves.Je dis légèrement.
Michel
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Re: Petit dreamer 2013
T'as raison Christophe, on n'est pas obligé d'être 8. Les derniers désistements inattendus m'ont embrouillé. Par contre, nous serons 7 puisque je me suis engagé auprès d'une personne m'ayant contacté en pm au tout début de développement de cette dégustation.
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Re: Petit dreamer 2013
Bonne dégust gang ! Plein de belles bouteilles en vue
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Re: Petit dreamer 2013
Pis Pis Pis
On veux des CR !!!!!!
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Passez visiter mon site web: www.marquisinc.ca
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Re: Petit dreamer 2013
Très belle dégustation. Une réussite, un niveau à peine plus bas que sa grande sœur tenue le même soir mais à quelques kilomètres.
L’endroit était idéal pour tenir cette belle dégustation. Grande table, beaucoup de place, permettant à chacun d’être à l’aise et de pouvoir converser facilement avec chacun d'entre nous. Nous étions les seuls au 2e. Donc, calme relatif et plaisir accru.
Nous avons débuté avec Dom Pérignon 1952 qui n’a pas fait « poffff » lors de son ouverture. Je crois que nous étions plusieurs à ne pas avoir été surpris. De couleur presque beige, nez de caramel fondu et bouche ….eh ! Disons passé date depuis 20 ans peut être plus. Son propriétaire, anticipant le décès du 52, l’a remplacé par un autre Dom, mais un très beau 1998. Pierre Pérignon, appelé dom Pérignon était un moine (1639-1715) qui a importé du Languedoc (sérieusement) la méthode champenoise.
« Vraie ou fausse, l'histoire veut également que dom Pérignon ait, le premier, découvert le moyen de faire mousser le vin de Champagne en bouteille. À l'époque, les bouteilles étaient bouchées avec des chevilles de bois garnies d'étoupe imbibée d'huile. À la recherche d'un procédé plus propre et plus esthétique, dom Pérignon aurait eu l'idée de couler de la cire d'abeille dans le goulot des bouteilles, leur assurant ainsi une parfaite herméticité ; mais au bout de quelques semaines, la plupart des bouteilles auraient explosé, incapables de résister à la pression. En fait la cire retient le gaz carbonique dans la bouteille, produit par la fermentation de l'acide malique en acide lactique plus carbonique. Un heureux hasard aurait ainsi permis à dom Pérignon de découvrir la fermentation en bouteille. La « méthode champenoise » ou, plus simplement le champagne, serait ainsi née.
Le moine aurait aussi inventé le bouchon de liège pour remplacer l'archaïque broquelet de bois maintenu au goulot par une ficelle de chanvre, puis la flûte à champagne. »
Toujours est-il que le 98 servi était seulement le 34e millésime produit depuis le 1921. Sont difficiles les proprios. Des notes de griottes, de noisettes et de fruits jaunes, aucunement ranciot. Un champagne qui se boit comme un vin. Excellent en bouche, beau gras, soutenu et long. Beau champagne.
Raveneau 1er Cru Vaillons 2006, une bouteille ajoutée pour la comparer avec son grand frère GC Valmur du même millésime, suivi d’un Meursault Perrières 2007 des comtes Lafon. Wow, quel trio. Surtout le Valmur et le Perrières. Deux monstres. Le Vaillons beau nez accompagné de miel et fleurs blanches, manque un peu de tonus en milieu de bouche mais ça demeure tout de même une belle expérience. Le Valmur, que du bonheur. Agrumes, minéral, grande tension, belle acidité et longueur. Grand vin assurément. Suivait le Perrières 2007 de Lafon. Gros wow. Nez très explosif avec ses notes d’épices, de mangue. Ample, belle rondeur et une finale expansive. Un autre grand vin. Beaucoup plus que le Génévrières de l’année dernière.
Plus tard (genre demain ou après) les rouges : Margaux 91 - Araujo 1998 - Réserve des Célestins 2006 d'Henri Bonneau - Côte Blonde 2003 de Rostaing et Talbot 1986
L’endroit était idéal pour tenir cette belle dégustation. Grande table, beaucoup de place, permettant à chacun d’être à l’aise et de pouvoir converser facilement avec chacun d'entre nous. Nous étions les seuls au 2e. Donc, calme relatif et plaisir accru.
Nous avons débuté avec Dom Pérignon 1952 qui n’a pas fait « poffff » lors de son ouverture. Je crois que nous étions plusieurs à ne pas avoir été surpris. De couleur presque beige, nez de caramel fondu et bouche ….eh ! Disons passé date depuis 20 ans peut être plus. Son propriétaire, anticipant le décès du 52, l’a remplacé par un autre Dom, mais un très beau 1998. Pierre Pérignon, appelé dom Pérignon était un moine (1639-1715) qui a importé du Languedoc (sérieusement) la méthode champenoise.
« Vraie ou fausse, l'histoire veut également que dom Pérignon ait, le premier, découvert le moyen de faire mousser le vin de Champagne en bouteille. À l'époque, les bouteilles étaient bouchées avec des chevilles de bois garnies d'étoupe imbibée d'huile. À la recherche d'un procédé plus propre et plus esthétique, dom Pérignon aurait eu l'idée de couler de la cire d'abeille dans le goulot des bouteilles, leur assurant ainsi une parfaite herméticité ; mais au bout de quelques semaines, la plupart des bouteilles auraient explosé, incapables de résister à la pression. En fait la cire retient le gaz carbonique dans la bouteille, produit par la fermentation de l'acide malique en acide lactique plus carbonique. Un heureux hasard aurait ainsi permis à dom Pérignon de découvrir la fermentation en bouteille. La « méthode champenoise » ou, plus simplement le champagne, serait ainsi née.
Le moine aurait aussi inventé le bouchon de liège pour remplacer l'archaïque broquelet de bois maintenu au goulot par une ficelle de chanvre, puis la flûte à champagne. »
Toujours est-il que le 98 servi était seulement le 34e millésime produit depuis le 1921. Sont difficiles les proprios. Des notes de griottes, de noisettes et de fruits jaunes, aucunement ranciot. Un champagne qui se boit comme un vin. Excellent en bouche, beau gras, soutenu et long. Beau champagne.
Raveneau 1er Cru Vaillons 2006, une bouteille ajoutée pour la comparer avec son grand frère GC Valmur du même millésime, suivi d’un Meursault Perrières 2007 des comtes Lafon. Wow, quel trio. Surtout le Valmur et le Perrières. Deux monstres. Le Vaillons beau nez accompagné de miel et fleurs blanches, manque un peu de tonus en milieu de bouche mais ça demeure tout de même une belle expérience. Le Valmur, que du bonheur. Agrumes, minéral, grande tension, belle acidité et longueur. Grand vin assurément. Suivait le Perrières 2007 de Lafon. Gros wow. Nez très explosif avec ses notes d’épices, de mangue. Ample, belle rondeur et une finale expansive. Un autre grand vin. Beaucoup plus que le Génévrières de l’année dernière.
Plus tard (genre demain ou après) les rouges : Margaux 91 - Araujo 1998 - Réserve des Célestins 2006 d'Henri Bonneau - Côte Blonde 2003 de Rostaing et Talbot 1986