Petit dreamer 2013

[Logicisfutile]

Merci de me faire rêver!!!

[fontaine]

Les buveux de rouge ... vous avez manqué trois grands blancs.

Je me reconnais la dedans... Mais c'est pas parce que je n'en voulais pas. J'ai tout de même voté cette année pour ton blanc Pierre !

[Léoville]

Je me reconnais la dedans... Mais c'est pas parce que je n'en voulais pas. J'ai tout de même voté cette année pour ton blanc Pierre !

Je ne visais personne. C'était juste un clin d'oeil.

[fontaine]

Je me reconnais la dedans... Mais c'est pas parce que je n'en voulais pas. J'ai tout de même voté cette année pour ton blanc Pierre !

Je ne visais personne. C'était juste un clin d'oeil.

Pierre, je sais très bien que tu ne visais personne. En fait je mentionnais juste que je me reconnaissais dans buveux de rouge suite à la discussion qu'on avait eu au dreamer de l'an dernier. Avec du recul sur ma soirée de vendredi, je peux même dire que ca manquait de blanc pour l'équilibre d'une telle soirée !

[Vmaster]

J'ai trouvé que l'accord du Meursault 2007 avec le tartare de saumon était fabuleux. J'ai également beaucoup aimé la vivacité des Raveneau qui étaient aussi d'une très grande pureté.

[Léoville]

Château Margaux 1991. Les grands font grand on le sait. Le plus étonnant, ils le font (presque) tout le temps. La preuve, la qualité de ce vin. Les principales caractéristiques de ce millésime : gelées en début de saison ravageant une bonne partie de la récolte (si vite dans la saison) et des pluies importantes en septembre. Plusieurs ont déclassé. Ce Château Margaux, bien sur, n’avait pas la matière ni la longueur des grands millésimes mais il était loin d’être dans sa phase de fin de vie. Belle surprise. La bouche est un peu mentholé, chocolat brun, un brin sur le graphite. Les tanins sont fins, en rondeur.
Le Araujo Eisele 1998, par contre avait des notes de cèdres et un niveau de sucrosité qui n’est pas désagréable. Un vin bien concentré. Bien aimé.

Réserve des Célestins 2006, CDP du domaine Henri Bonneau. J’avais hâte de goûter à ce vin l’ayant en cave (bouteille achetée là bas). Je suis un fan avoué de la cuvée Marie Beurrier. Pour l’anecdote, la grosse cuvée (Célestins) 2006 a été mise en bouteille avant la cuvée Marie B et avant toutes les cuvées du millésime 2005 (c’est la dégustation qui décide de tout … dixit Henri Bonneau). Notes acidulées (que j’aime toujours), réglisse noire, attaque franche, même massive et des relents en bouche bien après avoir bu la gorgée.

Vous ais-je déjà mentionné que j’aime beaucoup (pour ne pas dire plus) le Rhône Nord ? Une sirène nommée Mouline 85 en est probablement la cause. Encore une fois, j’ai été séduit par un vin de cette région, soit le Côte Blonde de Rostaing 2003. Tabac blond, finesse, une robe échancrée laissant entrevoir les courbes, sur de fins talons et qui t’appelle pour la rencontrer. Que dire de plus ?

Une surprise sortie du chapeau : Château Talbot 1986. 3e expérience avec ce vin dans ce millésime. Toujours aussi grand. Une des plus belles réussites du domaine. Fumé, encens, une mâche toujours aussi présente sans défaut. Un plus que beau vin.

[Goprom]

Une sirène nommée Mouline 85 en est probablement la cause. Encore une fois, j’ai été séduit par un vin de cette région, soit le Côte Blonde de Rostaing 2003. Tabac blond, finesse, une robe échancrée laissant entrevoir les courbes, sur de fins talons et qui t’appelle pour la rencontrer. Que dire de plus ?

Leoville quand je lis un texte inspirant comme le tien...je me répète que le vin est un révélateur.

Bonne journée et merci


MIchel