Dom. de la Taille aux Loups, Montlouis/L, Triple Zéro
Posté : ven. 29 août 2014 16:39
Domaine de la Taille aux Loups (Jacky Blot), Montlouis-sur-Loire, Triple Zéro
Bouteille achetée au domaine en août 2013 (vendange 2011 si ma mémoire est bonne).
Oeil doré, bonne prise de mousse, effervescence courte.
Nez : intensité plus faible que dans mon souvenir, mais un bel équilibre entre les fleurs blanches, les herbes infusées les zestes d’agrumes et le citron confit. On reconnaît bien le chenin, ça ne fait pas du tout ersatz de Champagne.
Bouche : fruits et fleurs blanches, herbes infusées, très sec. La bulle est très fine, la structure bien dense. Belle finale avec une touche de fruits jaunes avant que les amers n’entrent en jeu. Persistance longue.
Dans l’ensemble, superbe et parfaitement équilibré à mon sens. Le nez, ou plutôt sa discrétion, me faisait un peu peur mais la bouche est intense et précise à la fois. En particulier, l’amertume finale qui m’a parfois dérangé sur des mousseux de chenin non dosés (sur des bouteilles arrivées par bateaux, celle du CR venait de France par avion) est cette fois parfaitement qualibrée. En revanche, son aspect très sec fait qu’il est peut-être plus difficile pour certains palais que la cuvée régulière, qui est déjà bien moins sucrée que la plupart des champagnes.
Bouteille achetée au domaine en août 2013 (vendange 2011 si ma mémoire est bonne).
Oeil doré, bonne prise de mousse, effervescence courte.
Nez : intensité plus faible que dans mon souvenir, mais un bel équilibre entre les fleurs blanches, les herbes infusées les zestes d’agrumes et le citron confit. On reconnaît bien le chenin, ça ne fait pas du tout ersatz de Champagne.
Bouche : fruits et fleurs blanches, herbes infusées, très sec. La bulle est très fine, la structure bien dense. Belle finale avec une touche de fruits jaunes avant que les amers n’entrent en jeu. Persistance longue.
Dans l’ensemble, superbe et parfaitement équilibré à mon sens. Le nez, ou plutôt sa discrétion, me faisait un peu peur mais la bouche est intense et précise à la fois. En particulier, l’amertume finale qui m’a parfois dérangé sur des mousseux de chenin non dosés (sur des bouteilles arrivées par bateaux, celle du CR venait de France par avion) est cette fois parfaitement qualibrée. En revanche, son aspect très sec fait qu’il est peut-être plus difficile pour certains palais que la cuvée régulière, qui est déjà bien moins sucrée que la plupart des champagnes.